Pour ma part, j'ai bien peur que l'étroitesse d'esprit que je reproche à la masse américaine, pas aux américains en particulier ou aux particuliers américains, mais bien à la masse américaine, n'entraine vers le bas l'espoir d'une avancée hors de la noirceur bushienne. Comment, après tant de peur, de mépris, de haïne et d'agressivité, la paix, l'espoir et l'ouverture peuvent se frayer un chemin sans effrayer ceux qui, encore aujourd'hui, s'alimentent avec du CNN en intraveineuses?
Désolé. Il semble qu'un nuage obscurcisse mon horizon. Mais, bon. Je dois revenir à moi, à ma base, à ce que je connais. Après la pluie, le beau temps. Obama et un renouveau, j'y crois toujours.
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