Les acteurs humanitaires et de développement international ont parcouru du chemin. Mais il reste encore de l'espace. Bien que ce soit rarement les petits joueurs qui électrifie, ils appuient les populations en amont. Les grands financiers du développement, je nomme la Banque mondiale, la Banque africaine de développement, etc, sont souvent ceux qui aident les gouvernements des pays en développement ou émergent à poursuivre leur lutte à l'obscurité...
Dans la cyberpresse, nous pouvons lire aujourd'hui, un texte de l'Agence france presse, expliquant qu'il reste encore plus de 20% de la population mondiale sans électricité. Bien que l'intro soit quelque peu contradictoire, nous pouvons lire par la suite que selon l'Agence internationale pour l'énergie (AIE), plus de "1,4 milliard de personnes, n'ont pas accès à l'électricité, et 40% dépendent encore de réchauds rudimentaires et toxiques pour cuisiner".
L'article est intéressant. Je vous invite à le lire. Il m'a fait réfléchir à la façon dont nos villes se sont construites, érigées. Des villes "agglomérées" ou mini-gloglo perdu en brousse, il existe une panoplie de modèle... Le regroupement des villes facilitent l'électrification, leur dispersion la complique. Mais demander à des villageois de "déménager" leur village pourrait être considéré comme un sacrilège! Enfin, c'est de la matière à réflexion!
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Enfin, il faut ajouter que pour nous qui s'intéresse aux questions humanitaire et de développement international, l'électrification n'est pas qu'un enjeu de modernisme... mais aussi de protection des droits humains, des droits des enfants et des femmes plus directement! N'est-ce pas?
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