Rapelons que l'armée nationale est toujours contrôlée par le président "sortant". France 24 conclut leur article en ajoutant que "malgré les appels des États-Unis, de l'Union européenne et du représentant spécial de l'ONU en Côte d'Ivoire invitant Gbagbo à céder le pouvoir, le pays est toujours plongé dans une situation ubuesque, avec deux présidents à sa tête". Nous pouvons aussi ajouter de la CEDEAO, de l'UA, etc.
En attendant que l'un des "président" cède, la population ivoirienne est prise en otage et le pays s'isole de plus en plus sur la scène internationale.
Yako ivoiriens et ivoiriennes.
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